Il n'aura échappé à personne qu' aujourd'hui le triathlète qui n' exploite pas son potentiel en course à pied est irrémédiablement relegué au rôle de "figurant" au plus haut niveau de la compétition...
Dès lors si l'on exclut l'hypothèse, pas forcément improbable, de la surcharge pondérale et que l'on écarte le handicap cumulé d'une technique en natation qui laisserait à désirer ou d'une puissance à vélo qui essouflerait son homme, de retour parc, que reste-t-il comme "arme" pour le triathlète qui refuse obstinément de se faire larguer comme un "mal propre" à pied?
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